Sauvés par le gong

Inutile que je présente cette série qui je suppose a fait partie de l'enfance ou de l'adolescence de beaucoup de personnes ici. Je l'ai rematé dans son intégralité il y a quelques temps en anglais, c'est encore meilleure.

Kelly était mignonne à cette époque. Elle est devenue bouboule dans Beverly Hills, j'avais pas aimé.

J'adorais cette sitcom avec Zack, Kelly, etc...

J'ai que des bon souvenirs de cette sitcom haute en couleur, j'ai revu quelques épisodes sur idf1 c'est toujours aussi top.

Zack et son fameux téléphone portable.





Je me demande d'ailleurs si ce n'était pas un simple téléphone sans fil qu'ils ont voulu faire passer pour un portable.

Bah si, c'est un téléphone sans fil... Il me semble qu'il ne l'utilise pas en dehors de la maison d'ailleurs.


A cette époque là, l'idée de téléphone portable relevait encore de la science-fiction, ou du talkie-walkie

Sisi il l utilise en classe pour commander une pizza a Slater

Ah merde alors je ne m'en souviens pas du tout.

Mais y'a des rediffusions pour que vous vous en souveniez aussi bien??

Son téléphone est à l'origine de nombreuses de ses colles au lycée

Galopin a écrit:

Ah merde alors je ne m'en souviens pas du tout.

Mais y'a des rediffusions pour que vous vous en souveniez aussi bien??

je les ai tous en VHS donc je les ai tous vu au moins 20 fois chacun

maryna a écrit:

je les ai tous en VHS donc je les ai tous vu au moins 20 fois chacun

Moi aussi, j'ai les ai revu pas mal de fois, c'était multirediffusé à la télé et puis j'avais DL la série complète en anglais.

maryna a écrit:

Galopin a écrit:

Ah merde alors je ne m'en souviens pas du tout.

Mais y'a des rediffusions pour que vous vous en souveniez aussi bien??

je les ai tous en VHS donc je les ai tous vu au moins 20 fois chacun

Tu peux me les preter coupine?

ardisson59 a écrit:

maryna a écrit:

Galopin a écrit:

Ah merde alors je ne m'en souviens pas du tout.

Mais y'a des rediffusions pour que vous vous en souveniez aussi bien??

je les ai tous en VHS donc je les ai tous vu au moins 20 fois chacun

Tu peux me les preter coupine?

Ils sont a Paris chez mes parents, faut que je pense a les recup des que j y vais et pas de soucis^^

Je connais un excellent site US de torrents pour les séries même les plus rares, si ça intéresse quelqu'un.

Lisa en 2012, méconnaissable

http://omg.yahoo.com/yo-show/saved-by-the-bell-s-lisa-turtle-today-29246511.html

Personne n'a posté la vidéo porno-scato de Screech ?
Quel buzz en 2006!

Selon Allociné c'est pas lui ; en fait il aurait fait le fanfaron en faisant croire qu'il y y avait participé pour se faire de la pub mais rien du tout.

Ben pourtant on voyait bien sa tête ?
Ah merde, j'aimerais bien avoir le fin mot de l'histoire. Parce que c'est important cette histoire.

En parlant de scritch... justement cette nuit je suis tombé sur lui!! Il est dans un jeu télé réalité dirigé par hulk hogan où il dois faire le catcheur avec notamment dennis rodman, butterbean et frank stallone, le frère de rambo!!

Il passe de Winner à Looser c'est assez rude.

coucou...

J'ai revu des épisodes de cette série et ça a déclenché une réflexion compulsive que je souhaite partager ici (si vous voulez l'intégrer à un article...)

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On ne saurait dire si JLA a repompé "sauvés par le gong" pour faire ses séries de hélène et compagnie mais le concept semble proche tant les points communs abondent en cascade:

- univers de collège/lycée/fac pour ados pétés de thune qui foutent pas grand chose à part se baffrer de glaces à la cafète et changer de garde-robe à chaque intercours

- une galerie de putes jouant des rôles de pucelles pour qui le bisou sur la bouche est le comble de la dépravation

- des rires enregistrés pour faire croire que les répliques d'ados qui s'insultent c'est super drôle

- des intrigues qui tournent autour de pas grand chose excepté "qui smack avec qui ?"

- une avalanche de morale bien-pensante et à la sincérité parfois douteuse, avec des grandes idées comme "la drogue c'est mal", "passe ton bac d'abord", "le capitalisme est un monde paradisiaque et idyllique où tout le monde est beau jeune et riche"

- des acteurs qui jouent comme des manches

- les intellos sont ridiculisés et trainés dans la boue alors que les cancres sont portés aux nues

- le sex-symbol masculin de service est la pire tête à claques que la terre ait porté

La principale nuance avec les oeuvres d'Azoulay, c'est que "Save By Bell", c'était américain: le décor coûtait plus cher, les filles étaient encore plus sexy, les caractères plus exagérés, le surjeu frisait le pathologique, y'avait des quantités de bouffe orgiesques à la cafète (qui n'a pas bavé devant cet étalage de hamburgers frites milkshake avant que maman nous appelle pour manger les coquillettes à l'emmental avec un verre d'eau), les jeunes avaient encore plus de pognon à claquer, ils travaillaient encore moins à l'école, et ils assumaient avec fierté leur patriot act. L'american touch en prime, donc.

Nous arrêtons là la comparaison pour nous pencher maintenant sur l'aspect psychanalytique de la chose: ce divertissement, vraisemblablement grand frère des sitcom AB, et d'apparence innocente, aurait-il eu une influence sur nos constructions psychiques ? Et si oui, fut-elle structurante et positive ?

Pour mieux répondre à la question il convient de se remettre dans le contexte de notre tendre jeunesse. L'auteur de ces lignes étant un garçon il n'abordera que le point de vue masculin. Attention les filles, vous allez découvrir quelques secrets inavouables du sexe fort.

Flashback sur les heures sombres de notre passé. On est au collège. On a douze ans. Le corps change et le cerveau en est tout perturbé. On a du mal à se concentrer en classe, un réflexe hormonal incontrôlable détourne notre regard des équations sur le tableau noir pour se figer sur les fesses des filles. On réprime un filet de bave et dans nos jeunes esprits se projettent d'étranges films pornos où l'on attrape nos camaradesses sur leur banc d'école pour leur bourriner la minette tels des taureaux furieux. Il ne faut pas avoir honte, c'est la nature, c'est l'instinct qui nous pousse à perpétrer l'éspèce afin de rendre grâce au bon dieu de nous avoir fait don du cadeau du miracle de la vie.

Hélas, cette belle montée d'hormones et de pulsions de vie se voit brutalement tordre le cou par la cruelle injustice de dame nature: les filles n'ont d'yeux que pour le gros balèze qui casse la gueule à tout le monde dans la cour de récré. Alors un immense sentiment de frustration de colère et de haine envahit nos jeunes esprits d'amoureux brimés, et toutes ces pulsions de mort se voient concentrées sur un but déterminé : comment éliminer ce salopard de rival.

Revenons maintenant à l'oeuvre d'art en cours d'étude. Dans "save by bell", ce salopard de rival est incarné par le personnage de Slater. Même si lui et Zach s'accordent des trèves de camaraderie courtoise, ils passent le plus clair de leur temps à s'en mettre plein la gueule et se faire des crasses. L'élément dramatique du rival sexuel est suffisant et rudement efficace pour canaliser notre attention de jeunes ados boulversés par les dures épreuves de la puberté, c'est pourquoi le pitch parvient sans peine à se raccorder au problème crucial de tous les adolescents mâles: comment renverser le chef de la basse-cour pour pouvoir rentrer dans la chatte des filles ?

La réponse est donnée au jeune public par le duo central d'antihéros rigolos qui nous ont beaucoup fait rigoler de rire à l'heure du goûter: Zach le bolos et Screech le nerd, amis d'enfance inséparables pour le meilleur et le pire, leur amitié survivant aux pires épreuves, même quand Screech fait des ballons-animaux dans une soirée branchée, c'est dire si ils s'aiment.


Par souci de crescendo dans la profondeur psychologique, nous entamerons l'étude du duo non pas par le héros mais par son faire-valoir.


- Screech

Jeune de classe moyenne, Screech est l'archétype du bon-élève-sociable-gentil-et-marrant. Brillant et assidu dans ses études, faisant la fierté de ses professeurs, passionné par les sciences, il collectionne les animaux et les machines de petit génie. Néanmoins, loin de se camper dans une posture de sale intello prétentieux, Screech est un garçon humble qui joue à l'idiot pour se mettre au niveau de ses camarades, il passe son temps à faire rigoler la galerie en s'habillant n'importe comment, en se coiffant n'importe comment et en faisant d'horribles grimaces de Courtemanche. D'une fidélité amicale irréprochable, Screech est aussi un kamikaze avec le goût du risque: malgré son incompétence complète en matière de stratégie vicelarde, il n'ose jamais refuser un coup de main à son ami Zach pour l'épauler dans ses coups foireux les plus suicidaires, et se retrouve à chaque fois dans une merde pas possible avec en prime des trahisons éhontées de la part de son ami, à qui Screech pardonnera tout et même le pire et sans conditions.

Voilà le brave mec boute-en-train au coeur d'or qu'on aimerait tous avoir comme pote.

Revenons maintenant à la préoccupation du spectateur. Les filles sont elles sensibles à l'humour et à la grandeur d'âme du brave Screech ? Que nenni, il se mange râteau sur râteau, Screech fait fuir la totalité de la gent féminine.

Message subliminal envoyé au jeune spectateur: si tu veux mériter l'amour du beau sexe, il faut tout faire pour ne jamais devenir un brave type travailleur, loyal, cultivé, innocent, humble, généreux, miséricordieux, gentil et rigolo.


- Zach

Fils d'homme d'affaires, Zach est l'archétype du fils à papa arrogant et vicieux qui sait qu'il n'aura pas besoin de trop se fouler pour faire son trou. Zach a donc tout son temps libre pour vaquer à ses trois uniques activités: se recoiffer et changer de fringues, faire le coq devant les minettes en cassant les copains, et surtout faire les coups de pute les plus immondes à tout le lycée, bien souvent en empruntant les couilles de Screech pour prendre les risques à sa place. Et si Zach échappe au renvoi c'est uniquement parce qu'il a les moyens de soudoyer le proviseur. Traître, hypocrite, manipulateur et frimeur, Zach est un vrai machiavel prêt aux pires bassesses pour parvenir à ses fins, en bref, Zach est le prototype du parfait connard.

Voilà le genre de type qui, dans un contexte plus réaliste que celui d'une sitcom, se ferait rapidement remettre en place à coups de pompes dans la gueule.

Revenons maintenant à la préoccupation du spectateur. Les filles sont elles rebutées par la perfidie et l'insignifiance de l'infâme Zach ? Que nenni, elles sont toutes à ses pieds et tombent comme des mouches devant son sourire colgate de tarlouze, ses trois tonnes de gel et ses polos-jupette à 1000$, et INCROYABLE, Zach a atteint notre rêve ultime, il a vaincu le colosse, le rival increvable plein de barbaque, puisque Slater le alpha-mâle passe en deuxième avec toutes les gonzesses.

Message subliminal envoyé au jeune spectateur: si tu veux gagner l'amour du beau sexe, il faut tout faire pour devenir un salaud superficiel, frimeur, hypocrite, branleur, traître, inculte, malveillant, prétentieux, égoïste, jaloux, méchant et narquois.



Ce modèle du parfait séducteur "jerk" nous a été importé d'outre-atlantique par notre maître Azlouay: le sex-symbol d'AB prod, ce bon vieux cri-cri d'amour, étant une éspèce de clone de Zach en dix fois plus con.


CONCLUSION

Suite à cette analyse, nous pouvons affirmer sans risquer un excès d'inexactitude, que le petit écran nous a formaté une belle génération de tocards qui doivent en chier pour arriver à se blairer les uns les autres.




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Voilà.

Evidemment, cette analyse n'engage que moi. Y'a une part d'autobio. Quand je regardais cette série je faisais tout pour ressembler à Zach (j'avais une jolie gueule de minet en ce temps là), mais bizzarement ça fonctionnait pas, non seulement je valais pas un radis devant le "slater" de la classe, mais en plus, le fait de passer la journée à bêcher tout le monde ça rendait pas populaire du tout... Bizzarement, mon succès avec les filles n'a débuté que lorsque j'ai commencé à m'habiller et me comporter comme un clochard beatnik peace and love habillé à la fripe avec une tignasse géante sur la tête. Allez comprendre.

Je pense toujours pas JLA se soit inspiré de Sauvés par le Gong.
Les points que tu abordes au début sont communs à toutes les sitcoms, dans tous les pays. C'est limite la définition des sitcoms.

Par contre, l'analyse des comportements d'adolescents pour la séduction des filles, ouais, c'est bien ça. Le cliché du mâle alpha.

Mhh... "sitcom" au sens large ça veut dire un truc avec des rires enregistrés et trois décors en carton, et les références c'est plutôt l'univers familial, genre arnold et willy, cosby show, madame est servie, mariés 2 enfants, la fête à la maison, etc... la sitcom française de référence avant AB c'était 'Maguy'

L'univers "lycée des adolescents riches et incultes" je connais aucune sitcom américaine qui faisait ça à part "sauvés par le gong". par contre en france AB n'ont fait quasiment que ça


Et sinon si je reprends les termes techniques exacts des manuels de dragueur néo-machos appelés "gamerz", le nom des clichés c'est:

- Slater = "the alpha male" (="le mâle dominant")
- Screech = "the good guy" (="le brave gars")
- Zach = "the jerk" (="le salaud")

Ouh pinaize, j'suis pas allé si loin dans la lecture de ces manuels. Je mettais Slater et Zach au même niveau moi.
Tous les deux des salauds au final.

Pour les sitcoms américaines, je pensais aussi à Parker Lewis, ou Clueless plus tard, mais t'as p'tet pas tord. Y'a une possibilité de filiation.

Mhh non justement Slater c'était le type moralement droit, plutôt sérieux, bon américain patriote, élevé dans les nobles valeurs de l'armée, athlète admiré par ses profs de sport... et quand il s'abaissait de temps à autre à rentrer dans les chamailleries c'était uniquement pour contre-attaquer les vilains coups tordus de Zach. Zach lui c'était le cancre sans foi ni loi, feignant, aussi nul en sport que dans toutes les autres matières... c'est ce qui lui donnait son charme de fils à papa subversif, un naze qui a tout ce qu'il veut sans aucun effort ça fait rêver les ados

Dans l'épisode-pilote y'avait que zach et screech, ils ont rajouté slater ensuite pour contrebalancer les deux anti-héros avec un héros américain plus classique et disons plus "noble"...


Ha tiens sinon jme rappelais plus de parker lewis. Mais ça c'était hors du cadre cheap sitcom, y'avait pas besoin de rires enregistrés, c'était des vrais acteurs, y'avait un vrai travail de caméra, de découpage, un jeu d'acteur cartoon original, là on est dix étages au dessus de la sitcom.

Mais alors, pour toi qui a le rôle du comique de la troupe ? Dans les deux sitcoms ?

Nicolas est un mélange de Screech pour le côté brave, et de Zach pour le côté leader.
Christian est un mélange de Screech pour le côté personnage drôle, et de Zach pour le côté rebelle.
Slater a pas vraiment d'équivalent. Le côté rigueur d'esprit de Nicolas peut-être, et le côté adulé des filles de Christian.
Et puis surtout, y'a pas de fils à papa dans Hélène et les Garçons, ou alors ils le sont tous.
Zach a un petit côté coureur de jupons à la José aussi...
Quand aux filles j'ai aussi du mal à faire les relations. Mais je cherche la p'tite bête.

Cri cri de haine a écrit:

Ha tiens sinon jme rappelais plus de parker lewis. Mais ça c'était hors du cadre cheap sitcom, y'avait pas besoin de rires enregistrés, c'était des vrais acteurs, y'avait un vrai travail de caméra, de découpage, un jeu d'acteur cartoon original, là on est dix étages au dessus de la sitcom.

...et surtout du second degré ! Je suis d'accord dans la hiérarchie sinon.

On peut pas calquer totalement SbtB sur H&G... disons que le concept est très voisin, y'a le même discours facho derrière.

Je pense qu'à la base Nicolas était sensé avoir le rôle du jerk-star et cricri le rôle du rigolo... mais cricri faisait de l'ombre à tout le monde vu que les autres jouaient la comédie dix fois plus mal que lui, donc azoulay a du décider de lui donner le rôle de la vedette don juanesque

C'est évident que Premiers Baisers a été créé à partir de Sauvés par le gong mais JLA (contrairement à ce qu'il a pu faire avec un homme à domicile, l'un contre l'autre et les années bleues) a eu la bonne idée de changer pas mal d'aspects. Ainsi c'est une hfille qui est le personnage principal et non un garçon, sa maison est beaucoup plus souvent montrée que dans SPLG (où on voit seulement la chambre de Zach si je me souviens bien) alors qu'à contrario peu de scènes sont montrées au lycée/collège (qui n'est qu'un vulgaire couloir dans PB). Enfin, certains personnages de SPLG ne sont pas transposées dans PB (le principal, la grande asperge dont j'ai oublié le nom et Slater) et d'autres ont créés spécialement (les Girard, Isa et Luc).

Hélène et les garçons est beaucoup copié sur Premiers Baisers et donc sur Sauvés par le gong mais après une soixantaine d'épisodes, la sitcom se met à fleurter avec le soap pour ados, sans doute à cause du succès de "Beverly Hills".

Le collège des coeurs brisés ou le miel et les abeilles sont finalement des créations bien plus originales.

J'ai tout lu. Pas mal, ça manque un peu de recul peut être mais c'est amusant.

J'ai pas assez revu la sitcom pour me faire une opinion tranchée malheureusement. Quoi qu'il en soit, SPLG a obligatoirement inspiré de près ou de loin JLA (décors notamment).

ABvacances a écrit:

mais après une soixantaine d'épisodes, la sitcom se met à fleurter avec le soap pour ados, sans doute à cause du succès de "Beverly Hills".

Hoo très bien vu. J'avais pas pensé à cette influence là.

ABvacances a écrit:

Le collège des coeurs brisés ou le miel et les abeilles sont finalement des créations bien plus originales.

Normal c'est de l'auto-parodie. Azoulay a compris comment retourner les critiques négatives contre ses adversaires en jouant sur deux tableaux. Peu importe qu'ils se couvrent de merde, tant qu'on fait de l'audience avec un investissement minimal tout est parfait.

Citation :

J'ai tout lu. Pas mal, ça manque un peu de recul peut être mais c'est amusant.

J'ai volontairement pris une posture à l'inverse du recul... j'ai fait dans l'exagération pour faire ressortir la propagande facholibérale que nos yeux d'enfants ne pouvaient pas voir.

Citation :

J'ai pas assez revu la sitcom pour me faire une opinion tranchée malheureusement. Quoi qu'il en soit, SPLG a obligatoirement inspiré de près ou de loin JLA (décors notamment).

JLA a inventé quedalle, c'est un buisnessman, pas un artiste. Même le club dorothée c'était repompé sur une émission américaine qui s'appelait "the strong men", qu'il a approximativement traduit par "les musclés", et afin d'y ajouter une touche "personnelle" il a débauché l'équipe de a2. Bref il a tout pompé sur un peu tout le monde et il a fait son petit bloubiboulga.

Mouais mettre des "fachos" partout je vois pas trop l'intérêt en fait.

Citation :

JLA a inventé quedalle, c'est un buisnessman, pas un artiste.

Berda fait du business. Personne n'a jamais dit que JLA était un artiste.

Citation :

Normal c'est de l'auto-parodie. Azoulay a compris comment retourner les critiques négatives contre ses adversaires en jouant sur deux tableaux. Peu importe qu'ils se couvrent de merde, tant qu'on fait de l'audience avec un investissement minimal tout est parfait.

Merci de nous l'apprendre hein !