92 : Les exams - 2e partie

Tentons de rassembler ici tout ce qui concerne cet épisode (anecdotes, extraits, analyses, impressions, ...) afin de reconstituer ensemble
l'Encyclopédie Rippertienne Absolue.

Luc commence à bien se débrouiller avec la Lettre à Elise. Avec deux mains et tout. Il nous offre ainsi une superbe ouverture d'épisode.
D'ailleurs on voit ses doigts quand il joue, ce qui veut dire que c'est bien notre Christophe adoré qui effectue la performance.

Sinon à noter une chouette cascade de Monsieur Girard qui se jette dans le canapé quand les jumelles menacent de balancer leurs valises par dessus la rampe d'escalier.

Moi j'aime pas c'est le mec qui a des cheveux longs et qui sert de troisième couteaux pendant ces épisodes.
AUX CHIOTTES CE MEC. VIENT TE CONNECTER ET M'AFFRONTER CONNARD

Raskolnikov a écrit:

Moi j'aime pas c'est le mec qui a des cheveux longs et qui sert de troisième couteaux pendant ces épisodes.
AUX CHIOTTES CE MEC. VIENT TE CONNECTER ET M'AFFRONTER CONNARD

Je ne vois pas de qui tu veux parler ?

Fabien Rembler a des MEGA cernes dans cet épisode!
En tout cas, ce double épisode écrit par Jérôme Rembler et Christine Lemler est bien meilleur que "les loubards". C'est bien la seule fois où Debbie montre un peu de personnalité!

Le nom de famille de Suzy et Suzon est... Ever! Mais où sont-ils allés chercher ça?

La scène des Jumelles qui font leurs valises pour rentrer dans leur pays (ne rêvons pas, ça n'aura pas lieu), est un calvaire autant pour les yeux que pour les oreilles.

Sinon Debbie se chie violemment dans cette scène d'ailleurs, un cafouillage magique.

Bon les Jumelles ont eu 7 et 8/20. Debbie 14 et Isa... 17/20!

Du coup les Girard se permettent de demander aux parents Ever de garder les Jumelles, en leur promettant que ça ira mieux. On se souviendra que les Jumelles feront par la suite de grandes études...

Excellent, le moment où François annonce à Jérôme que son antisèche est passée "comme une lettre à la poste", et qu'ensuite il monte sur une banquette de la cafèt' et part dans son délire :
"Jérôme, tu as devant toi, un génie des temps modernes..."