Anita Dureville, la fille à papa, est prête à tout pour conquérir Luc. Il est contraint de lui enseigner le tennis car c'est MÔssieur Laplace, un bon ami du papa à la fifille qui menace de le virer, s'il ne s'exécute pas.
Virginie ne le supporte pas. D'autant plus qu'Anita a offert une moto à Luc!
Dupray, veste en cuir, se pointe au bar:
- Dis donc Ary, à qui qu'elle est là SUPERBE moto là?
- Ha ben c'est à Luc?
- A Luc? humpf, ha ha, mais comment il a eu ça?
- C'est Anita qui lui a offert
- Non? Elle lui a offert une moto? Wouah la chance!
Virginie s'en mêle:
- Non mais trouvez ça normal?
- BAH OUAIS!!! Ha ha heu hum... non c'est pas bien.
- AGAGAGA.
A noter qu'Anita ne sait pas dire "maligne". A deux reprises, elle prononcera distinctement le "gneu" de maligne.
Cette emphase choque un peu.
Fin de l'aparté.
Sandra propose ses services de journaliste pour donner à Anita une occasion de choper le Rippert: imprimer une double page "je t'aime Luc"!
Cette radasse de Sandra Bunel encaisse un bon vieux chèque du Crédit Mutuel pour les conseils qu'elle prodigue à Anita.
Oui mais c'est sans compter la discussion à bâton rompus qui s'en suivra entre Anita et Luc, à la cafèt de la salle de sport: Luc va lui ouvrir les yeux. C'est pas du tout le Dom Juan que tu m'avais décrit Sandra!
Sandra (ni culotte) a cependant plus d'un tour dans son sac, et encore une bonne idée à soumettre à Anita, comme nous l'allons voir.
Dernière scène.
Après un bon repas en tête-à-tête, alors que Luc et Virginie s'apprêtent à consommer le """dessert""" (avec regards échangés et sous-entendus insistants), des gratouillis se font entendre à la porte.
La porte s'ouvre sur Paul, portant une chaise. Sandra se pointe dans l'encolure.
HO mais qu'est-ce que tu fiches là?, sort un Luc passablement agacé.
Bah ça va, j'ai le droit d'être la quand même!, fit la Bunel.
Figurez vous que vous avez une nouvelle voisine de pallier! Et oui, Anita a quitté son 200m² pour venir habiter l'appartement d'en face.
Suspens coupé, il s'agit bien d'Anita et non pas de Paul pour ceux qui auraient rien compris.
L'épisode se termine sur une image figée sur notre héros incrustée du fameux, mais non moins relou, A Suivre...