C'est Cool !

J'ai trouvé quelques infos sur la série !

Citation :

C'est cool est une série française en 69 épisodes de 26 minutes, créée par Didier Albert, et diffusée à partir du 26 mars 1996 sur France 2.
Cette série raconte les aventures d'une bande de copains, qui ouvrent ensemble un dépôt-vente. Seuls deux des comédiens principaux de Seconde B ont accepté de tourner dans cette série. C'est cool est en quelque sorte le spin-off de Seconde B. Cependant, le personnage de Pascal Jaubert change de nom, et aucune référence au Lycée Rimbaud n'est présente.

http://www.toutelatele.com/article.php3?id_article=31758

Citation :

Lors de son lancement, C’est cool s’est installée sur la case de 17h25, du lundi au vendredi, entre Quoi de neuf docteur ? et Les Bons génies de Patrice Laffont. Elle était confrontée à Rick Hunter, inspecteur choc sur TF1. Le 17 janvier 1997, le dernier épisode a été diffusé sur la case de 17h45, juste avant Studio des artistes. La série a réuni en moyenne 900 000 téléspectateurs

Citation :

« C'est cool ! » tente un retour au réel
Article paru dans l'édition du Monde 29.03.96
Ni ados ni adultes, les personnages de la nouvelle sitcom de France 2 sont censés connaître des aventures qui ressemblent à la vraie vie. Encore un effort...

ILS SONT jeunes, ils sont beaux, mais ils ne sentent pas du tout, mais pas du tout, le sable chaud. Au contraire. Ils « galèrent à mort », ils « rament comme des oufs », ils « hallucinent » toute la journée. A l'inverse de leurs congénères d'autres séries, les héros de « C'est cool ! », la nouvelle sitcom de fin d'après-midi de France 2, ont des problèmes. De « vrais problèmes », comme on en a dans les feuilletons doit-on lire le journal intime de sa petite amie ? une fille peut-elle « craquer » le premier soir ? , mais aussi des « petites difficultés » le manque d'argent ou la nécessité de trouver un job lorsqu'on est au chômage.
La blonde Alice ne s'entend pas toujours très bien avec sa maman et répond au téléphone dans une agence de voyages. Basile est obligé de travailler la nuit... « Nous avons choisi de nous rapprocher le plus possible de la réalité, afin que le maximum de téléspectateurs puissent s'identifier à nos héros », explique Françoise Bertheau-Guillet, productrice de la série. « Raconter les tribulations de fantômes complètement déconnectés du réel ne présente plus aucun intérêt. Comme pour « Seconde B », qui était aussi une production Flach Film, nous avons voulu donner une véritable épaisseur à nos personnages. »

Pierre Siracusa, conseiller de programme pour la fiction à France 2, avec Claude Chauvat, ne cache pas que cette volonté de retour à plus de réalisme est aussi une question de cible : « Même si la série est destinée aux 15-25 ans, nous avons essayé d'élargir notre auditoire pour toucher leurs petits frères, mais aussi leurs parents et même leurs grands-parents, comme c'était le cas pour « Seconde B », qui plaisait beaucoup aux plus de 50 ans. Nous voulions donc faire des 26 minutes qui aient du sens mais ne soient ni prise de tête ni trop invraisemblables. » Exeunt donc les couleurs pastel et les « cafètes » idylliques, les répliques improbables et les étudiants attardés. Les personnages de « C'est cool ! » sont censés être de plain pied dans la vie et parlent le langage de la rue, à grand renfort de « Merde alors, si tu fais ça, j't'éclate la tête » et autres « Comment t'es grave toi ! Pour l'embrouille, il est plus fort que toi ».

ARTIFICIEL

Leur point commun, le cadre de leurs aventures ? Un ancien atelier d'ébénisterie situé dans une vague banlieue, façon gentille périphérie et très loin des cités dégradées , que ce « Club des cinq de jeunes d'une vingtaine d'années, unis depuis l'adolescence par une solide amitié », a transformé en dépôt-vente en vue de réunir l'argent nécessaire à la création d'un studio d'enregistrement. Plus de collège ni de campus de fac, ni même une maison commune comme dans « Le Miracle de l'amour » (la sitcom de TF 1 qui prolongeait les aventures d'« Hélène et les garçons »)... Dans « C'est cool ! », la seule structure repérable est cette vaste brocante dans lequel Djamel, Nina, Basile, Axel et Alice se retrouvent régulièrement. « C'était la meilleure solution pour réunir de jeunes adultes très différents les uns des autres. Il est vrai que c'est assez ambitieux car le cadre est moins solide que pour d'autres séries, mais au fil des épisodes ça fonctionne », poursuit Françoise Bertheau-Guillet.

On est pourtant dérouté par ce lieu non identifiable, tout autant que par des dialogues qui sonnent faux et auxquels les jeunes comédiens eux-mêmes semblent avoir du mal à croire. Leurs aventures sont beaucoup moins nunuches que celles de leurs homologues des « Années fac » (série concurrente diffusée à 17 heures sur TF 1), mais elles ne parviennent pas toujours à convaincre. La bande-son, qui échappe (fort heureusement) aux rires préenregistrés mais utilise des bruits de klaxon incongrus et un fond musical agaçant, renforce encore le côté artificiel de la série. Paraissant à l'étroit dans cette bulle à l'écart du temps, les héros de « C'est cool » miment la vie plus qu'ils ne la jouent.
DOROTHEE TROMPARENT

Jolie trouvaille !

rasko a écrit:

Caignault fait trop sage là. MMC va kiffé le béret Kangol à la Samuel L Jackson de Butler.

Dommage qu'il n'y ait pas de rediffs où d'extraits de cette série.

Grave, même si ça a l'air bien nul.
J'avais pas compris que c'était pas la suite de Seconde B, déception...

Julie est magnifique sur ces photos!


Sinon le beret Kangol bordeau, je le cherche depuis un moment, putain!


Bah, j'aimerais bien savoir à quoi ça ressemble, j'aimais bien la ptite bande de seconde B, moi

J'aimerais tellement voir ce que donne Julie Caignault dedans... pourquoi diable cette sitcom n'est-elle jamais repassée...

Idem. J'ai pas Séries Club, mais y aurait peut-être moyen qu'ils la diffusent...